Le RGPD est une directive européenne visant à renforcer la protection des données et à responsabiliser les professionnels. Il renforce les principes de la loi informatique et libertés, en vigueur depuis 1978, et accroît les droits des citoyens en leur offrant une meilleure maîtrise de leurs informations.
L’entrée en vigueur du RGPD le 25 mai 2018 engendre de nouvelles obligations. Au vu des très importantes sanctions encourues, mieux ne vaut pas lésiner et s'assurer d'avoir un logiciel conforme.
Les impacts du RGDP sur l'entreprise et l'ERP
Le RGPD modifie les procédures de collecte, de stockage, de manipulation et de transmission des informations personnelles des entreprises. Elles doivent aussi désigner un délégué à la protection des données (DPO) au sein de l'entreprise pour s'assurer du respect des règles...
Même si l'impact sur l'ERP est réduit, il n'en est pas moins réel. Pour respecter ces obligations, Codial s'est adapté et offre les fonctionnalités suivantes depuis la version Codial 12.00R06 :
- Sécurisation des informations : Accès à Codial par un mot de passe utilisateur crypté dans la base de données avec renouvellement forcé de ce mot de passe tous les 3 mois.
- Conformité du contenu : Un message d’avertissement est affiché sur les champs commentaires ou observations des fiches tiers et contacts afin de rappeler à l’utilisateur son obligation de respecter la loi en matière de contenu qui ne doit en aucun cas être discriminatoire, diffamatoire ou injurieux.
- Droit d’accès à l’information : A la demande d’un tiers, il est possible d’exporter depuis une fiche prospect, client ou contact l’ensemble des informations le concernant. Ces informations sont fournies sous forme de fichier CSV exploitable sans application dédiée. L'action est mémorisée et horodatée.
- Droit à l’oubli : Sur demande de l’intéressé, l’ensemble des données enregistrées dans sa fiche prospect, client ou contact peuvent être effacées. Cette action est mémorisée et horodatée.
Les sanctions encourues en cas de non-respect du RGPD
Les sanctions financières peuvent s’élever à 10 ou 20 millions d’euros, ou à 2 à 4% du chiffre d’affaires annuel mondial de l’entreprise, le montant le plus élevé étant retenu.